Vi. Avec une très nette tendance ces dernières années, à inventer une nouvelle règlementation issue de l'impossibilité d'appliquer la précédente dans certains cas particuliers, imposant le port du parapluie en béton surmonté d'une étanchéité par dessus le parapluie en toile.
A cette mise en place d'outils règlementaires à visée simplificatrice est souvent associée une recommandation (à valeur normative) très insistante, édictée par une association semi-publique de type paritaire, pour compléter le dispositif général par une quantification du port de l'imperméable selon les trois principales zones d'intempéries découpant la France (cat. I / Cat.II / Cat.III), selon des principes codifiés dans un référentiel qualité sujet à audit règlementaire annuel pour obtenir le label.
Bien évidemment, le dispositif est complété d'une validation à mi parcours, permettant l'ajustement éventuel de ses dispositions collatérales, pour garder une certaine souplesse et permettre une application optimale de la règlementation.

Moyennant quoi, aujourd'hui pour transporter 20 personnes, les seuls outils au catalogue routier ou ferroviaire pèsent plus d'une dizaine de tonnes, consomment des quantités astronomiques de carburant, et de toutes façon se font littéralement exploser en cas de choc frontal. L'argument de la sécurité non négociable conduit trop souvent à des erreurs d'interprétations excessives et coûteuses, et à des choix industriels sans retour.
