Une autre vision du problème est que souvent une ligne peut constituer deux sous-ensemble, ce qui est vrai autant pour les transports urbains qu'interurbains.
Citons (entre autres) : Saint-Etienne - Lyon - Ambérieu, Saint-Etienne - Boën - Noirétable - Clermont, la

à Lyon avec Vaise - Bellecour/Saxe - Grange-Blanche/Vénissieux.
D'autres caractéristiques de ces lignes sont la desserte locale en complément d'une liaison principale entre deux ou trois pôles.
Je veux en venir au fait qu'on pourrait affecter quelques trains par jours sur un Saint-Etienne - Vienne - Valence comme sur un Saint-Etienne - Grenoble/Chambéry/Annecy qui ne seraient pas destinés à relier réellement les deux terminus mais à avoir un ensemble par liaison de deux lignes de "dessertes" permettant au passage à ceux qui réalisent un trajet atypique d'éviter de faire en 3h ce qui prend 1h30 en voiture.
C'est l'idée des transversales, qui sont en voie de disparition au niveau national (à l'exception de certains TGV) mais bien portantes sur le plan local (gestion sur une seule ligne).
En revanche, je reconnais que cela a des implications négatives : un problème sur une sous-ligne a des conséquences sur l'autre très rapidement, problème atténué lorsqu'il existe deux gestions semi-indépendantes (en prévoyant des correspondances correctes).
En résumé, il y a une idée de fond à creuser

, y compris au niveau du TGV. Sinon, on peut toujours rêver d'une gare importante Givors/Chasse de type Saint-Germain-des-Fossés (carrefour géographique plus que ville importante).