Auron a écrit :C'est officiel, le remplaçant du Citelis serra le Urbanway
http://farm3.staticflickr.com/2871/8835792774_bf6ee5eac8_k.jpg
Je vous laisse, je pars me pendre
Alain a écrit :Mais depuis ? Mis à part le design, qu'est-ce qui a vraiment changé ?
Connexxions a écrit :A bien y regarder en plus on dirait un Line cette horreur...
Connexxions a écrit :A bien y regarder en plus on dirait un Line cette horreur...
Auron a écrit :euh... source?
Auron a écrit :Cool, on va avoir un "super" bus avec un cul énorme...
Ça va être d'un moche...
BBArchi a écrit :Auron a écrit :Cool, on va avoir un "super" bus avec un cul énorme...
Ça va être d'un moche...
?
Bin, pas plus qu'un citelis, quoi ?![]()
Tu préfèrerais un Volvo ? Avé la malle à biscuits sur le toit, à l'arrière ?
Adritcl a écrit :Auron a écrit :euh... source?
Tu as pleins d'infos sur Tecelyon. A savoir que le modèle de pré-série (faisant parti des deux modèles attendus en mai) est "malheureusement" équipé du moteur Cursor 9, c'est à dire qu'il n'a pas la lunette arrière...
Iveco, premier fournisseur d'autobus de la RATP
Iveco Bus conforte sa position historique de premier fournisseur d’autobus à la RATP grâce à son avance dans les technologies alternatives « propres »
La RATP a récemment lancé un important appel d’offres européen pluriannuel (2014-2017), qui porte sur un potentiel maximal approchant les 1000 autobus standard de 12 mètres.
7 mai 2014
La RATP et Iveco Bus engagent une nouvelle étape de leur partenariat historique. La Régie parisienne vient d‘attribuer au constructeur d’Annonay, en Ardèche, deux des quatre lots constituant cet appel offres, pour des autobus Urbanway de toute nouvelle génération à motorisations « propres » au gaz naturel (GNV) et hybride électrique.
Ces technologies ont été choisies pour leurs qualités environnementales, démontrant qu’Iveco Bus a su anticiper les attentes de la RATP et du STIF en terme de pollution urbaine, un sujet actuellement au cœur des préoccupations de nombreuses villes européennes.
Iveco Bus est leader européen en matière d’autobus fonctionnant au GNV depuis de nombreuses années avec près de 5000 autobus en service en Europe. Réputé pour son excellence technologique, le moteur Cursor 8 GNV se passe de filtre à particules grâce à son procédé de combustion optimal particulièrement performant, dit stœchiométrique. Ses émissions polluantes sont inférieures à celles que préconise la Directive Euro VI, entrée en vigueur le 1er janvier 2014 en Europe, essentiellement en particules fines responsables des maladies respiratoires en milieu urbain. Les émissions sonores du Cursor 8 GNV sont divisées par deux et ses vibrations sont atténuées à tous les régimes de fonctionnement par rapport à un véhicule diesel, pour le plus grand bénéfice des citadins et des passagers.
100 % compatibles avec le biocarburant de 2e génération qu’est le biométhane issu de nos déchets, les autobus GNV Iveco Bus garantissent, dans ce cas, un bilan carbone neutre et une étape concrète de la nécessaire transition énergétique. En d’autres termes, leur utilisation n’induit pas de réchauffement climatique ; il s’agit donc bien d’une solution à même de répondre aujourd’hui à tous les défis du transport routier du 21e siècle : qualité de l’air, protection climatique et silence de fonctionnement, sans rien enlever aux avantages fondamentaux des autobus, à savoir polyvalence d’exploitation et faible coût d’utilisation. Les 150 autobus Iveco Bus exploités aujourd’hui par le réseau de Lille représentent l’exemple parfait de véhicules qui roulent entièrement décarbonés et sans énergie fossile. Les retombées économiques de cette filière d’économie circulaire sont considérables : création de valeur et d’emplois non délocalisables, transformation de déchets en ressources, indépendance énergétique et amélioration de la balance commerciale nationale.
Le moteur Iveco Cursor 8 GNV est produit à l’usine de Bourbon-Lancy en Saône-et-Loire, premier employeur de Bourgogne avec 1 400 salariés. Depuis 2003, 24.000 Cursor 8 GNV sont sortis de ce site français, trouvant des applications routières et industrielles dans le monde entier, y compris en équipant des autobus du réseau de Pékin.
En version hybride électrique, l’autobus Urbanway confirme l’engagement d’Iveco Bus en faveur de la mobilité durable et des villes qui choisissent d’abandonner les autobus diesel pour des autobus « propres ». Sa chaîne de traction fait appel à un moteur diesel Euro VI de cylindrée réduite accouplé à un moteur électrique/génératrice qui récupère l’énergie accumulée pendant la décélération pour la stocker dans des batteries lithium-ion de dernière génération, et la restituer à l’accélération. La suppression de la boîte de vitesses assure souplesse de conduite et excellentes reprises sans à-coups, gage de confort pour les passagers.
Il résulte de cette technologie hybride une réduction d’émissions de CO2 et de consommation de carburant comprise entre 25 et 35 %. Rappelons que 30 % d’économies de gazole correspondent à plus de 25 tonnes de gaz à effet de serre par véhicule et par an qui ne sont pas rejetées dans l’atmosphère, représentant plus de deux fois le poids à vide d’un autobus standard.
La version hybride de l’Urbanway s’enrichit de la nouvelle fonction « Arrive & Go », qui assure des arrivées et des départs « tout électriques » aux arrêts de bus, en silence, sans pollution et sans vibration, trois avantages particulièrement appréciés des riverains. Iveco Bus confirme ainsi sa volonté de proposer des autobus qui garantissent un transport urbain toujours plus respectueux des ressources naturelles, de l’environnement et de la santé publique.
Véritable « salon en ville », alliant une technologie de pointe à un nouveau design particulièrement séduisant, l’autobus Urbanway reflète les solutions performantes, durables et économiques qu’Iveco Bus propose au secteur du transport public européen.
N° 1 sur le marché français, Iveco Bus se positionne comme une véritable filière génératrice d’emplois, directs et indirects, grâce à son site de production d’Annonay - premier employeur d’Ardèche - qui emploie 1200 salariés et fait appel à plus de 250 fournisseurs et sous-traitants français, et à son centre de Recherche et Développement de Vénissieux (Rhône), fort de 300 personnes, qui confirme le fort enracinement d’Iveco Bus dans la région Rhône-Alpes.
En 2013, l’usine d’Annonay a reçu l’importante distinction « Origine France Garantie » pour l’ensemble de son activité industrielle autocars-autobus. Décerné par Bureau Veritas Certification, ce label répond pleinement au concept « concevoir et produire en France » qui exige que d’une part, le produit prenne ses caractéristiques essentielles et sa forme distinctive en France et, d’autre part, que plus de 50 % du prix de revient unitaire de ce produit soient acquis en France. Ainsi, acquérir un véhicule estampillé du label OFG fait montre d’un réel engagement citoyen.
- See more at: http://www.iveco.com/France/espace-pres ... vSu0i.dpuf
Le fabricant ardéchois devait livrer 350 bus à Astana pour un montant de 107 millions d’euros...
Mauvaise nouvelle pour Iveco bus : Astana, capitale du Kazakhstan, vient de suspendre sa commande de 350 bus roulant au gaz naturel pour véhicules (GNV). Signée en février dernier, cette commande, qui s’élève à 107 millions d’euros, devait représenter 350 emplois directs sur un an pour le fabricant de bus annonéen.
Pour l’heure, la commande ne serait que “suspendue”, Astana souhaitant finalement des bus diesel et non plus GNV. Or, à Annonay, la production des bus GNV avait déjà commencé. « On en a une cinquantaine de prêts », indique un délégué syndical. Et les salariés de s’interroger : « Que fait-on des pièces déjà livrées par nos fournisseurs ? Que fait-on des bus déjà faits ? Est-ce que nous allons quand même produire les bus pour Astana ou est-ce qu’une autre entreprise va s’en charger ? »
Quid des 650 intérimaires ?
Les salariés craignent une annulation pure et simple de la commande. « Cela serait catastrophique pour l’emploi », prédit l’un d’entre eux. Iveco bus prévoyait en effet de faire rentrer 650 intérimaires d’ici le mois de juin pour faire face à une hausse d’activité. « Sans cette commande, on n’aura pas besoin d’autant de monde », murmure-t-on déjà.
Selon nos informations, Pierre Lahutte, responsable des activités car et bus au sein du groupe CNH Industrial, auquel appartient Iveco, devrait se rendre prochainement au Kazakhstan pour tenter de régler ces points et, surtout, pour conserver ce précieux contrat. Il fait actuellement partie de la délégation de chefs d’entreprises suivant le président François Hollande en Azerbaïdjan, en Arménie et en Géorgie. Une présence sur la scène internationale qui pourrait lui faire gagner des points aux yeux d’Astana.
Contacté hier, Olivier Dussopt, député de l’Ardèche et maire d’Annonay, se voulait confiant : « La production est suspendue car les clients kazakhs ont souhaité apporter une modification d’un point de vue technique. Je fais une totale confiance à Pierre Lahutte pour solutionner cette situation. » En attendant, les salariés attendent la tenue d’un comité d’entreprise extraordinaire pour en savoir plus.
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