Gros problème non maîtrisé ...
Mais.
Heureusement que des ingénieurs ingénieux, des techniciens hypertechniques et des certificateurs référentialisés sont là pour remédier aux inévitables défauts de jeunesse de ces technologies.
Une solution simple pour éviter les déformations bien localisées sous les roues des matériels : mettre en place des poutrelles métalliques sur des fondations en béton. Ces poutrelles, bien centrées dans l'axe des roues par rapport à la bordure de trottoir, pourraient reprendre les efforts tant longitudinaux (freinages et accélérations), que dans le sens de la hauteur (accélérations génératrices de contraintes dynamiques, entraînant la déformation progressive dans le plan vertical).
L'aile supérieure des poutrelles métalliques servirait de plan de roulement. Et accessoirement, il devient imaginable de mettre en oeuvre un système de guidage magnétique permettant un accostage au millimètre.
Et permettrait aussi d'économiser une Lac sur les deux, le retour du courant s'effectuant par les poutrelles...
J'entend déjà une objection, et j'y réponds par avance : cette solution est
très différente de la technique des métros sur pneus, par exemple ; houla. Rien à voir.
Du tout.
La meilleure preuve est que le métro ne circule pas dans les rues, et quasi exclusivement en tunnel.
Si ce n'est pas une démonstration triviale, ça, les belins ?
Nom d'un pétard.
Si seulement cette technologie, comprenant enfin qu'elle est moche, bancale, et mal foutue, pouvait s'appliquer le seppuku une bonne fois pour toutes...
Parce que sinon, à part faire zigzaguer les bus "ailleurs que toujours au même endroit", je ne vois pas comment sortir du guêpier de cette technologie...
